Une campagne électorale est par essence marquée par la bipolarité des acteurs qui s’y affrontent. D’une part, la majorité sortante dont le rôle est de présenter un bilan, et sur cette base, de solliciter la poursuite de son programme. En face, une opposition de qui l’on attend un programme alternatif sensé être meilleur que celui de la majorité sortante.
La présente campagne électorale pour les législatives du 30 juillet a démarré sur des chapeaux de roue. Tout au moins pour la majorité Benno Bok Yakar, dont la tête de liste nationale, le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dione, investi de la confiance du Président Macky Sall, a donné le ton, avec le doigté et la pertinence qu’on lui connaît. On aurait presque pu dire qu’il a déjà atteint l’apothéose, dès les premières séquences de la campagne, à Mbacké-Touba, Saint-Louis et Matam. Partout dans ces localités, des centaines de milliers de citoyens, militants ou non, ont suivi passionnément, le message d’espoir du chef de file de la liste de la majorité. Un espoir fondé sur du réel, en l’occurrence les réalisations tangibles du Président Macky Sall, au cours de ces cinq dernières années. Le Premier ministre n’avait donc aucun mal à les égrener, tant leur effectivité imprègne déjà leur vécu quotidien. Si la communion était parfaite entre lui et les foules de citoyens subjugués par cette légitime espérance, c’est parce que l’impact des politiques publiques mises en œuvre à travers le tentaculaire Plan Sénégal Emergent est déjà fortement ressenti dans les chaumières du Sénégal, notamment celles des lointaines contrées. L’entrée en lice de la phase1du PSE a permis de cerner de manière exhaustive, les secteurs socioéconomiques les plus stratégiques (santé, social agriculture, infrastructures, éducation) avec de forts taux de réalisations.
Grâce à une stratégie de communication bien maîtrisée, le Premier ministre a recentré le débat sur l’essentiel : l’impact des politiques publiques et la décisive marche vers l’émergence. On devait s’attendre que l’opposition s’inscrivît dans une trajectoire analogue en présentant, des projets alternatifs crédibles. En effet, le propre d’une campagne électorale dans une démocratie apaisée comme la nôtre, c’est bien entendu, la confrontation des idées et des projets, entre une majorité aux affaires et une opposition aspirant à la remplacer par des voies légales. Seule, une telle opportunité de comparaison aurait permis d’éclairer la lanterne des citoyens, ainsi mieux outillés à faire leur choix, en toute connaissance de cause. Tous les éléments de langage servis par les porte-drapeaux de Benno Bok Yakar s’inscrivent dans cette farouche volonté à porter le débat sur les projets de société, et l’analyse des politiques publiques menées depuis mars 2012.
Au regard de cette bipolarité communicationnelle, il est regrettable que l’opposition n’aient d’autres arguments à proposer que l’injure, la stigmatisation subjective et les grivoiseries de mauvais aloi. Entichés dans leur indécrottable culture de la division, ils ne peuvent que constater l’échec de la constitution d’une liste unique promise à grands renforts de déclamation. La suite, on la connaît, c’est un foisonnement d’accusations de projets cachés, de querelles byzantines, de diabolisations.
Personne ne donnait en réalité du crédit à ces envolées incantatoires voulant faire passer l’idée saugrenue et illusoire d’une prétendue cohabitation. Ces têtes de file de l’opposition se voient ainsi rattrapées par les démons de leurs ambitions personnelles au seul service de leur obscur graal. Que n’a-t-on pas vu en ce début de campagne ? Un ancien Chef d’état, Me Wade en l’occurrence, que la sagesse la plus élémentaire aurait du conduire au repos, haranguer des militants abusés par la désinformation, des propos teintés d’amertume, de haine et de revanche. Marchand de rêves plus que d’espoirs, il distille à satiété des miroirs aux alouettes, en oubliant ou en feignant d’oublier les douze années de braise dans lesquelles il a plongé les Sénégalais de 2000 à 2012. Comment passer par pertes et profits ces innommables frasques politiques, emprisonnements arbitraires et ciblés, répressions policières (13 morts) lors des soulèvements populaires ?
Comment balayer d’un revers de main, cette incroyable orgie financière de 9O milliards de FCA, pour faire organiser dans la nébulosité totale le FESNAM par sa fille cadette ? Combien de bourses familiales supplémentaires, le Président Macky Sall aurait-il pu octroyer aux plus démunis avec cette somme astronomique dont la fille du Président s’est servie comme d’un gadget ? Combien de bénéficiaires de la CMU, de la carte de solidarité, de Domaines Agricoles Communautaires, de centres et postes de santé, d’écoles, auraient pu voir jour ? Combien de villages frontaliers auraient été tirés du désert administratif, sanitaire ou scolaire à la faveur des programmes innovants du PSE ? Quid des milliards, engloutis par son super Fils de ministre dans des projets pharaoniques, véritables éléphants blancs, sans lendemains, ni impacts socioéconomiques.
La même remarque vaut aussi pour cet ancien Premier ministre égaré une nouvelle fois, dans la convulsion interminable de ses alliances et mésalliances au service d’une ambition boulimique. Combien de Sénégalais auraient pu être soulagés des affres de la pauvreté si les milliards dispatchés dans les transactions obscures et capillaires revenaient au Trésor public ? Croire que le Sénégalais ont la mémoire courte au point de ne plus se rappeler ces incroyables délitements moraux, des responsables de la plupart des dirigeants de coalition opposantes, c’est vouloir abuser de leur de patience légendaire et sous-estimer leur capacité de résilience.
En cinq ans et dans tous les domaines, les projets lancés par le Président Macky Sall ont dépassé, doublé, voire triplé en performance, en nombre et en qualité ceux réalisés en douze par le régime précédent.
Dans l’évaluation des régimes et des hommes successivement passés aux affaires, il est de notoriété que l’appréciation de leurs actions doit davantage porter sur la comparaison de leur performance, leur impact, que sur leur bilan personnel. Cet exercice simple nous conduirait à mesurer l’étendue de l’avance du Président Macky Sall dans les transformations sociales en cours, partout au Sénégal.
La différence entre la coalition Benno Bok Yakar et les autres, c’est que chez nous le consensus et la vérité résultent de la convergence de nos sincérités, autour d’un homme, qui veut tout donner au Sénégal, le Président Macky Sall. Les autres, cherchent tout pour eux, et rien pour les Sénégalais. Sans nul doute, le 30 juillet, les électeurs Sénégalais sauront dissocier la bonne graine de l’ivraie, pour qu’en 2019, la réélection du Président Macky Sall ouvre de nouvelles perspectives de promotion individuelle et collective pour les Sénégalais, toutes conditions confondues.
La présente campagne électorale pour les législatives du 30 juillet a démarré sur des chapeaux de roue. Tout au moins pour la majorité Benno Bok Yakar, dont la tête de liste nationale, le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dione, investi de la confiance du Président Macky Sall, a donné le ton, avec le doigté et la pertinence qu’on lui connaît. On aurait presque pu dire qu’il a déjà atteint l’apothéose, dès les premières séquences de la campagne, à Mbacké-Touba, Saint-Louis et Matam. Partout dans ces localités, des centaines de milliers de citoyens, militants ou non, ont suivi passionnément, le message d’espoir du chef de file de la liste de la majorité. Un espoir fondé sur du réel, en l’occurrence les réalisations tangibles du Président Macky Sall, au cours de ces cinq dernières années. Le Premier ministre n’avait donc aucun mal à les égrener, tant leur effectivité imprègne déjà leur vécu quotidien. Si la communion était parfaite entre lui et les foules de citoyens subjugués par cette légitime espérance, c’est parce que l’impact des politiques publiques mises en œuvre à travers le tentaculaire Plan Sénégal Emergent est déjà fortement ressenti dans les chaumières du Sénégal, notamment celles des lointaines contrées. L’entrée en lice de la phase1du PSE a permis de cerner de manière exhaustive, les secteurs socioéconomiques les plus stratégiques (santé, social agriculture, infrastructures, éducation) avec de forts taux de réalisations.
Grâce à une stratégie de communication bien maîtrisée, le Premier ministre a recentré le débat sur l’essentiel : l’impact des politiques publiques et la décisive marche vers l’émergence. On devait s’attendre que l’opposition s’inscrivît dans une trajectoire analogue en présentant, des projets alternatifs crédibles. En effet, le propre d’une campagne électorale dans une démocratie apaisée comme la nôtre, c’est bien entendu, la confrontation des idées et des projets, entre une majorité aux affaires et une opposition aspirant à la remplacer par des voies légales. Seule, une telle opportunité de comparaison aurait permis d’éclairer la lanterne des citoyens, ainsi mieux outillés à faire leur choix, en toute connaissance de cause. Tous les éléments de langage servis par les porte-drapeaux de Benno Bok Yakar s’inscrivent dans cette farouche volonté à porter le débat sur les projets de société, et l’analyse des politiques publiques menées depuis mars 2012.
Au regard de cette bipolarité communicationnelle, il est regrettable que l’opposition n’aient d’autres arguments à proposer que l’injure, la stigmatisation subjective et les grivoiseries de mauvais aloi. Entichés dans leur indécrottable culture de la division, ils ne peuvent que constater l’échec de la constitution d’une liste unique promise à grands renforts de déclamation. La suite, on la connaît, c’est un foisonnement d’accusations de projets cachés, de querelles byzantines, de diabolisations.
Personne ne donnait en réalité du crédit à ces envolées incantatoires voulant faire passer l’idée saugrenue et illusoire d’une prétendue cohabitation. Ces têtes de file de l’opposition se voient ainsi rattrapées par les démons de leurs ambitions personnelles au seul service de leur obscur graal. Que n’a-t-on pas vu en ce début de campagne ? Un ancien Chef d’état, Me Wade en l’occurrence, que la sagesse la plus élémentaire aurait du conduire au repos, haranguer des militants abusés par la désinformation, des propos teintés d’amertume, de haine et de revanche. Marchand de rêves plus que d’espoirs, il distille à satiété des miroirs aux alouettes, en oubliant ou en feignant d’oublier les douze années de braise dans lesquelles il a plongé les Sénégalais de 2000 à 2012. Comment passer par pertes et profits ces innommables frasques politiques, emprisonnements arbitraires et ciblés, répressions policières (13 morts) lors des soulèvements populaires ?
Comment balayer d’un revers de main, cette incroyable orgie financière de 9O milliards de FCA, pour faire organiser dans la nébulosité totale le FESNAM par sa fille cadette ? Combien de bourses familiales supplémentaires, le Président Macky Sall aurait-il pu octroyer aux plus démunis avec cette somme astronomique dont la fille du Président s’est servie comme d’un gadget ? Combien de bénéficiaires de la CMU, de la carte de solidarité, de Domaines Agricoles Communautaires, de centres et postes de santé, d’écoles, auraient pu voir jour ? Combien de villages frontaliers auraient été tirés du désert administratif, sanitaire ou scolaire à la faveur des programmes innovants du PSE ? Quid des milliards, engloutis par son super Fils de ministre dans des projets pharaoniques, véritables éléphants blancs, sans lendemains, ni impacts socioéconomiques.
La même remarque vaut aussi pour cet ancien Premier ministre égaré une nouvelle fois, dans la convulsion interminable de ses alliances et mésalliances au service d’une ambition boulimique. Combien de Sénégalais auraient pu être soulagés des affres de la pauvreté si les milliards dispatchés dans les transactions obscures et capillaires revenaient au Trésor public ? Croire que le Sénégalais ont la mémoire courte au point de ne plus se rappeler ces incroyables délitements moraux, des responsables de la plupart des dirigeants de coalition opposantes, c’est vouloir abuser de leur de patience légendaire et sous-estimer leur capacité de résilience.
En cinq ans et dans tous les domaines, les projets lancés par le Président Macky Sall ont dépassé, doublé, voire triplé en performance, en nombre et en qualité ceux réalisés en douze par le régime précédent.
Dans l’évaluation des régimes et des hommes successivement passés aux affaires, il est de notoriété que l’appréciation de leurs actions doit davantage porter sur la comparaison de leur performance, leur impact, que sur leur bilan personnel. Cet exercice simple nous conduirait à mesurer l’étendue de l’avance du Président Macky Sall dans les transformations sociales en cours, partout au Sénégal.
La différence entre la coalition Benno Bok Yakar et les autres, c’est que chez nous le consensus et la vérité résultent de la convergence de nos sincérités, autour d’un homme, qui veut tout donner au Sénégal, le Président Macky Sall. Les autres, cherchent tout pour eux, et rien pour les Sénégalais. Sans nul doute, le 30 juillet, les électeurs Sénégalais sauront dissocier la bonne graine de l’ivraie, pour qu’en 2019, la réélection du Président Macky Sall ouvre de nouvelles perspectives de promotion individuelle et collective pour les Sénégalais, toutes conditions confondues.